Nouveautés à la médiathèque: 20 novembre

20.11.2017

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Grâce au soutien de la bibliothèque départementale de l’Aude, tous les quinze jours de nouveaux livres sont mis à votre disposition au sein de la médiathèque de Roullens.

Les nouveautés du 20 novembre:

Jeunesse :

« Le livre d'activité pour toute l'année »

Plus de 200 activités à faire seul ou entre amis, à la maison ou en vacances. Pour le plaisir de bricoler et de créer à tous les moments de l’année : carnaval, Pâques, l'été, Noël... Des réalisations faciles à concevoir, étape par étape, dans des matières diverses et abordables.

« Mes créations du monde : Afrique », Peggy Nille

            Un costume dogon, un masque kplé-klpé ; un bouclier massai, un tissu malgache… Ouvre ce grand livre d’activités et pars en voyage au cœur des arts et traditions des peuples d’Afrique Noire !

« Bébé joue et apprend, 160 jeux et activités pour les enfants de 0 à 3 ans », Penny Warner

Puisque les tout-petits apprennent surtout en s'amusant, pourquoi ne pas vous prêter au jeu et profiter de chaque instant avec votre bébé pour l'aider à bien grandir? Pour l'accompagner au mieux dans son développement moteur, physique et cognitif, ce livre vous propose une multitude d'activités à réaliser seul avec votre enfant, en groupe ou en famille. Vous y trouverez, catégorisées selon l'âge visé, des idées simples et efficaces pour encourager votre enfant à explorer le monde qui l'entoure et favoriser l'éveil de ses sens. Pour chacune d'elles sont indiquées les variantes possibles, les mises en garde pour assurer un environnement d'apprentissage sécuritaire ainsi que les capacités pouvant être développées.

 

Albums :

« Tigres à la queue leu leu ! », Moon-hee Kwoon

Un garçon très paresseux, houspillé par sa mère qui n’en peut plus de le voir dormir et manger à longueur de journée, décide de se mettre au travail et révèle des ressources insoupçonnées d’imagination, d’inventivité et de persévérance.

« Sur le fil, Didier Lévy », Isabelle Chatellard

Joachim, l'accordéoniste du Bingo circus, est amoureux de mademoiselle Flora, la jolie funambule. Quand mademoiselle Flora fait son numéro, tout là-haut sous le chapiteau, Joachim joue la valse qu'il a composée pour elle. Mais ce soir-là, Joachim se fait remplacer. Et ce soir-là, tout va de travers !

« Le monstre de la savane », Fanny Robin

Pour trouver de nouveaux amis,la hyène en fait des tonnes. Mais un vrai ami vous aimera comme vous êtes... Alors, bas les masques !

« Pin pon ! », Léo Timmers

Pin Pon ! Tût tûûût ! Qui vient par ici et qui va par là ? Sirènes et klaxons... Attention aux oreilles !

« Tût tût ! », Léo Timmers

Tit tit tit tit ! Spleurtch spleurtch ! Grue, rouleau compresseur... Tous les engins sont au travail. Attention, chantier !

« Le roi c'est moi », Léo Timmers

Un matin, la tortue se réveille une couronne sur le dos. " C'est moi le roi ! ", se dit-elle. Ses amis se moquent d'elle, évidemment. Et tous veulent la couronne : le bouc, le flamant rose, le serpent, le cochon, le crocodile, l'éléphant, et même le singe. Mais cette couronne, à qui appartient-elle, vraiment ?

« Boum ! », Léo Timmers

Une histoire sans paroles qui joue sur le rythme et la surprise. Un ingénieux dépliant, à la manière d’un plan panoramique, permet d’embrasser d’un seul regard toute l’action de l’album. Accrochez-vous, et attention au démarrage !

« Chaud devant! », Léo Timmers

Attention devant, ce petit cochon a perdu le contrôle de sa luge ! Un récit-randonnée très drôle pour jouer avec l'apprentissage de l'orientation dans l'espace. Une luge dévale à toute vitesse la piste de ski. Chaud devant ! Les autres skieurs vont devoir esquiver ce petit bolide pour éviter le carambolage. Une nouvelle histoire de Leo Timmers pour mettre en scène de façon ludique les notions de dessus, dessous, entre et à côté : les fondamentaux de l'orientation dans l'espace.

 

BD :

« Raoul et Glouglou. 1 Né dans les choux », Francisco Lopez, Frédéric Thorne

Plutôt rare qu'une cagette de choux-fleurs servent de cachette à un monstre, non ? Les parents de Raoul l'apprennent à leurs dépens et l'apparition de la petite bête bouleverse (durablement) l'équilibre familial. En effet, Raoul n'hésite pas une seconde à l'adopter : même si elle a un appétit d'ogre, chante comme une casserole et ronfle comme un sonneur, la petite créature est attachante. Elle s'exprime à coups de "Glou" et devient vite le meilleur ami de Raoul qui l'a baptisé "Glouglou". Sauf que Glouglou est aussi têtu que champion en bêtises de toutes sortes... Attachez vos ceintures !

 

Adultes :

« Marcher, une philosophie », Frédéric Gros

"La marche, on n'a rien trouvé de mieux pour aller plus lentement. Pour marcher, il faut d'abord deux jambes. Le reste est vain. Aller plus vite ? Alors ne marchez pas, faites autre chose : roulez, glissez, volez. Ne marchez pas. Car marchant, il n'y a qu'une performance qui compte : l'intensité du ciel, l'éclat des paysages. Marcher n'est pas un sport." Si mettre un pied devant l'autre est un jeu d'enfant, la marche est bien plus que la répétition machinale d'un geste anodin : une expérience de la liberté, un apprentissage de la lenteur, un goût de la solitude et de la rêverie, une infusion du corps dans l'espace... Frédéric Gros explore ici, en une série de méditations philosophiques et en compagnie d'illustres penseurs en semelles (Nietzsche et Rimbaud, Rousseau et Thoreau, Nerval et Hölderlin...) mille et une façons de marcher - flânerie, errance ou pèlerinage -, comme autant d'exercices spirituels.

« Sauvage par nature : 3 ans de marche extrême en solitaire de Sibérie en Australie », Sarah Marquis

Durant les trois premiers mois, le corps et l'esprit se nettoient. Passé ce cap, le corps ne fait plus mal, l'esprit est libéré . La marche : une pratique ancestrale reconnue chez les moines comme une forme de méditation que Sarah Marquis a fait sienne. Dans ce témoignage extraordinaire, elle nous raconte son voyage à pied de 2010 à 2013 (mai), avec pour seul bagage un sac à dos de 30 kilos. Des paysages somptueux du lac Baïkal à la jungle luxuriante du Laos ; une faune splendide avec les loups de Sibérie, les léopards des neiges du désert de Gobi ; des échanges étonnants avec les hommes, comme la fois où elle fut menacée par des narcotrafiquants après avoir foulé un champ d'opium... Mais aussi les rigueurs du climat, le défi quotidien de se nourrir et autres aventures sur le vif : Ne jamais planter sa tente la nuit au risque d'être réveillé sous la pression de serpents qui tentent de sortir de leur nid ! Sur 20 000 kilomètres, elle a connu ce qu'elle a cherché de plein gré : le froid, la faim, la douleur, la solitude extrême. La splendeur des paysages l'a récompensée, comme le cheminement intérieur qui lui a permis de développer sa philosophie du mouvement, qu'elle partage aujourd'hui dans ce livre.

 

Autobiographies :

« Le lièvre de Patagonie », Claude Lanzmann

«Quand venait l'heure de nous coucher et de nous mettre en pyjama, notre père restait près de nous et nous apprenait à disposer nos vêtements dans l'ordre très exact du rhabillage. Il nous avertissait, nous savions que la cloche de la porte extérieure nous réveillerait en plein sommeil et que nous aurions à fuir, comme si la Gestapo surgissait. "Votre temps sera chronométré", disait-il, nous ne prîmes pas très longtemps la chose pour un jeu. C'était une cloche au timbre puissant et clair, actionnée par une chaîne. Et soudain, cet inoubliable carillon impérieux de l'aube, les allers-retours du battant de la cloche sur ses parois marquant sans équivoque qu'on ne sonnait pas dans l'attente polie d'une ouverture, mais pour annoncer une brutale effraction. Sursaut du réveil, l'un de nous secouait notre petite sœur lourdement endormie, nous nous vêtions dans le noir, à grande vitesse, avec des gestes de plus en plus mécanisés au fil des progrès de l'entraînement, dévalions les deux étages, sans un bruit et dans l'obscurité totale, ouvrions comme par magie la porte de la cour et foncions vers la lisière du jardin, écartions les branchages, les remettions en place après nous être glissés l'un derrière l'autre dans la protectrice anfractuosité, et attendions souffle perdu, hors d'haleine. Nous l'attendions, nous le guettions, il était lent ou rapide, cela dépendait, il faisait semblant de nous chercher et nous trouvait sans jamais faillir. À travers les branchages, nous apercevions ses bottes de SS et nous entendions sa voix angoissée de père juif : "Vous avez bougé, vous avez fait du bruit. – Non, Papa, c'est une branche qui a craqué. – Vous avez parlé, je vous ai entendus, ils vous auraient découverts." Cela continuait jusqu'à ce qu'il nous dise de sortir. Il ne jouait pas. Il jouait les SS et leurs chiens.»

« 21 rue la Boétie », Anne Sinclair

"Vos quatre grands parents sont-ils français ? me demanda le-monsieur-de-derrière-le-comptoir." Cette question, on l'avait posée pour la dernière fois à des gens qui devaient bientôt monter dans un train, venant de Pithiviers, de Beaune-la-Rolande ou du Vel d'Hiv... et cela suffit à raviver en moi le souvenir de mon grand-père, Paul Rosenberg, ami et conseiller des peintres, dont la galerie se trouvait 21 rue La Boétie. Attirée, malgré moi, par cette adresse et par l'histoire tragique qui y est attachée, j'ai eu soudain envie de revisiter ma légende familiale. Je me suis plongée dans les archives. J'ai voulu comprendre l'itinéraire de ce grand-père lumineux, intime de Picasso, de Braque, de Matisse, de Léger, devenu paria sous Vichy. Ce grand-père fut un grand marchand. A Paris jusqu'en 1940, puis exilé à New York pendant la guerre. Il était français, juif et amoureux des arts. Ce livre raconte son histoire ? qui, indirectement, est aussi la mienne."

 

Histoire :

« Les services secrets de la France libre : le bras armé du général de Gaulle », Sébastien Albertelli

Dès juin 1940, une poignée de Français choisissent de continuer le combat depuis Londres sous les ordres du général de Gaulle. Mais la poursuite de la guerre est un pari audacieux quand manquent les moyens humains, financiers et matériels. Tout est à inventer, ou presque. C'est dans cet esprit que le colonel Passy organise le Bureau central de renseignements et d'action (BCRA). Son objectif est triple. D'abord, recueillir des renseignements sur ce qui se passe en France. Puis, très vite, soutenir la lutte de ceux qui ont choisi de résister en métropole, exploiter leur potentiel militaire et enfin, bon gré mal gré, leur imposer la tutelle de l'homme du 18 Juin. Grâce à des archives exceptionnelles (celles du BCRA en France, celles du SOE en Angleterre et celles de l'OSS aux Etats-Unis), cet ouvrage retrace l'aventure de personnages hors du commun qui ont marqué de leur empreinte l'histoire des services secrets de la France libre : le colonel Passy, le colonel Rémy, Jean Moulin, Pierre Brossolette, Roger Wybot (futur patron de la DST), André Manuel, Pierre Fourcaud ou Honoré d'Estienne d'Orves. Il nous entraîne au coeur de ces services et met en lumière leurs relations avec le Général, mais aussi leurs rapports souvent tumultueux avec leurs partenaires britanniques et américains. A travers de multiples informations inédites et des documents jusque-là inaccessibles au public, il démonte la légende noire qui a parfois occulté le formidable apport du BCRA à la victoire alliée et nous fait découvrir toutes les facettes de son rôle dans la lutte pour la Libération de la France.

 

Romans :

« L'ordinateur du paradis », Benoit Duteurtre

Arrivé aux portes du paradis, un nouvel élu, fraîchement décédé, découvre les normes d'hygiène et de sécurité désormais fixées pour la vie éternelle. Au même moment, sur terre, un projet de pénalisation des images pornographiques perturbe la tranquillité de Simon Laroche, haut fonctionnaire bon teint qui redoute de se voir démasqué pour ses escapades sur Internet. Pourtant, c'est une simple phrase, filmée à son insu, qui va le précipiter dans un engrenage cauchemardesque. Dans cette société à peine imaginaire où les réseaux se dérèglent, où les informations des uns arrivent sur les ordinateurs des autres, où les femmes et les hommes guerroient sans relâche, deux jeunes banlieusards opposent une résistance dérisoire à l'ordre établi. L'intrigue nourrie par toutes les peurs de l'époque alterne avec les interventions débonnaires du Grand Saint Pierre.

“The book of Ivy”, Amy Engel

Je m'appelle Ivy Westfall, et je n'ai qu'une seule mission : tuer le garçon qu'on me destine, Bishop, le fils du président. Je me prépare pour ce moment depuis toujours. Peu importent mes sentiments, mes désirs, mes doutes, car les espoirs de toute une communauté reposent sur moi. Le temps de la rébellion approche...

« La route de Beit Zera », Hubert Mingarelli

Stepan vit avec sa chienne quelque part en Israël dans une maison isolée près des bois. Il écrit chaque jour à son fils Yankel, forcé de se cacher à l’autre bout du monde. Il raconte ainsi sa vie de solitude et dit son espoir, un jour, de le retrouver. En faisant face à son chagrin, il se souvient de l’époque où il contrôlait les Palestiniens aux postes-frontières, éprouvait de la haine, de la honte ou de la compassion. Depuis quelque temps, un adolescent mystérieux lui rend visite et s’attache peu à peu à la chienne. Livre de la paternité et de la transmission, il aborde la question de la séparation, celle d’un père et d’un fils mais aussi celle des peuples qui vivent avec les fautes commises par leurs aînés. Et dit, à hauteur d’homme, la vie quotidienne éprouvée par le conflit israélo-palestinien.

« Le vol des aigrettes », Sue Monk Kidd

A une époque de ma vie où j'étais avant tout l'épouse de Hugh et la mère de Dee, l'une de ces femmes pas ambiguës pour deux sous, n'ayant aucune envie de troubler l'ordre du monde, je suis tombée amoureuse d'un moine bénédictin... Ainsi commence l'histoire de Jessie, qui voit sa vie bouleversée à quarante-deux ans, en retournant sur l'île de son enfance, au large de la Caroline du Sud. Après Le Secret des abeilles, son incroyable best-seller qui s'est vendu à plus de cinq millions d'exemplaires aux États-Unis, Sue Monk Kidd décrit dans ce beau roman les désirs d'une femme qui doute, nous révélant ainsi le véritable sens de l'amour, la tentation du risque, et le pouvoir du pardon.

« Cancres Ltd et Cie », Tom Sharpe

Entrez dans le monde délirant de Tom Sharpe : il ressemble au nôtre, mais en pire. Rien ni personne ne trouve grâce à ses yeux. Peuplés de crétins, d'affreux et de tordus, ses romans atteignent des sommets d'humour et de dérision. Sous la farce perce une satire des institutions britanniques, qu'elles soient scolaires, judiciaires ou politiques.

Âmes sensibles s'abstenir : quand Tom Sharpe cogne,il y a fort.

« Demain les chiens Clifford », D. Simark

Qu’est-ce que l’homme ? Qu’est-ce qu’une cité ? Qu’est-ce que la guerre ? Voilà les questions que les chiens se posent, le soir à la veillée, après avoir écouté des contes fascinants mettant en scène ces mots magiques mais devenus incompréhensibles.

« Yanvalou pour Charlie », Lyonel Trouillot

Jeune avocat d’affaires dévoré d’ambition, Mathurin D. Saint-Fort a voulu oublier ses origines pour se tenir désormais du meilleur côté possible de l’existence. Jusqu’au jour où fait irruption dans sa vie Charlie, un adolescent en cavale après une tentative de braquage, qui vient demander son aide au nom des attachements à leur même village natal. Débusqué, contraint de renouer avec le dehors, avec la douleur du souvenir et la misère d’autrui, l’élégant Mathurin D. Saint-Fort embarque, malgré lui, pour une aventure solidaire qui lui fait re-traverser, en compagnie de Charlie et de quelques autres gamins affolés, les cercles de la pauvreté, de la délinquance, de la révolte ou de la haine envers tout ce que lui-même incarne. Mathurin, Charlie, Nathanaël, Anne : quatre voix se relaient ici pour dire, chacune à son échelle, le tribut qu’il incombe un jour à chacun de payer au passé, qu’il s’agisse de tirer un trait sur lui afin de contourner l’obstacle, de l’assujettir à une idéologie – ou, plus rarement, et quoi qu’il en coûte, de demeurer fidèle au “yanvalou”, ce salut à la terre ancestrale, en retrouvant les liens qui fondent une communauté. Voyage initiatique au coeur de la désespérance, Yanvalou pour Charlie est sans aucun doute le roman de l’abandon des hommes par les hommes, et le chant qui réaffirme la rédemption d’être ensemble – en Haïti comme ailleurs.

Romans policiers :

« Ne lâche pas ma main », Michel Bussi

Un couple d'amoureux dans les eaux turquoise de l'île de La Réunion. Farniente, palmiers, soleil. Un cocktail parfait. Pourtant, le rêve tourne court. Quand Liane disparaît de l'hôtel, son mari, Martial, devient le coupable idéal. Désemparé, ne sachant comment prouver son innocence, il prend la fuite avec leur fille de 6 ans. Pour la police, cela sonne comme un aveu : la course-poursuite, au coeur de la nature luxuriante de l'île, est lancée.

« Rester groupés ! », Sophié Hénaff

Ça bouge au 36 Quai des Orfèvres. De nouvelles recrues rejoignent les rangs de la brigade maudite du commissaire Anne Capestan, dont Saint-Lô, sorti de l'hôpital psychiatrique dans la peau de D'Artagnan, et Ratafia, rat policier. Sale affaire pour l'équipe de bras cassés : trois assassinats éparpillés sur le territoire. Un point commun : le tueur a prévenu ses victimes. Cerise sur le gâteau : l'ex-beau-père de Capestan est l'une d'elles. Dialogues hilarants, suspense et dérision... après le succès de Poulets grillés (Prix Polar en série, Prix des lecteurs du Livre de Poche), Sophie Hénaff récidive ! De la fantaisie, de l’humour et de la légèreté, tous les ingrédients délectables du premier roman de Sophie Hénaff sont au rendez-vous de sa réjouissante suite. Un polar vitaminé.

 

Bonne lecture!